Cette année les élèves de la 6ème6, 4ème6 et les élèves du dispositif ULIS se sont exprimés à travers leur voix et leur corps. Ils se sont investis dans des ateliers de danse HIP-HOP et de SLAM en partenariat avec l’association LA CLEF à Saint-Germain-en-Laye.

Les élèves, encadrés par la chorégraphe et danseuse Gabrièle et par le slameur Kalimat, ont défini une thématique commune, l’ennui et le plaisir.

Les élèves de 4ème ont réalisé des ateliers d’écriture où ils ont écrit puis déclamé leur SLAM.

Les élèves de 6ème et du dispositif ULIS, ont pu mener un travail sur l’écoute et l’expression corporelle à travers différents exercices (se déplacer en rythme, travailler les points d’appuis, occuper l’espace, transformer le mouvementen faisant varier l’énergie, l’amplitude, la vitesse).

A l’issue de ces ateliers, les élèves ont créé leur chorégraphie sur le Slam des 4èmes.

Dans le cadre de ce projet, les élèves ont assisté à un concert de slam, donné par Kalimat au collège

Ils se sont également rendus dans les locaux de La Clef.

Ils se sont également rendus dans les locaux de La Clef. La sortie s’est déroulée en 2 temps :

Dans un premier temps les élèves ont parcouru les locaux de La CLEF, ils y ont découvert les activités proposées par l’association (art plastique, danse, musique). Ils ont rencontré les régisseurs général et studios qui ont parlé de leur parcours. Ils ont ensuite assisté à la conférence "Scratch Conférence" durant laquelle ils ont pu échanger autour de l’histoire de la musique rap et des DJ.

Le second temps a été consacré à l’art urbain et à l’appropriation de certaines techniques artistiques. Les élèves se sont rendus à la Maison Natale Claude Debussy pour y découvrir une exposition sur un mural de street-art, réalisé dans le centre-ville de Saint-Germain-en-Laye. Les élèves sont ensuite allés l’admirer.

De retour à La CLEF, ils ont participé à un atelier pratique "Crée ton blaze" où ils ont réalisé leur signature de graffeur. Ils ont créé leur propre pochoir (une des techniques utilisées par les street-artistes) qu’ils ont ensuite bombé à l’aide de bombes de peintures artisanales.